Ces deux dernières années, nous avons subi une propagande permanente pour les "vaccins covid" qui a débuté avant même qu’ils n’existent et les agences sanitaires ont, pour la plupart, affirmé que leur balance avantage/risque était favorable bien avant que leurs essais ne soient terminés et qu’elles ne disposent de données publiées et vérifiables. Au 28 juin 2022, plus de 12 milliards d’injections ont été réalisées sur près de la moitié de la population mondiale. En l’absence de résultats officiels des essais phase 3 qui ne se termineront qu’en 2023, on peut déjà évaluer l’efficacité des injections en analysant l’évolution de l’épidémie avant et depuis les grandes campagnes d’injections.
Critères objectifs d’efficacité d’un vaccin
L’efficacité réelle d’un vaccin se juge à la qualité et à la durée de protection individuelle qu’il confère aux vaccinés (impossibilité d’attraper la maladie) et à sa capacité de prévenir la diffusion virale dans la population (arrêt de propagation de la maladie). Les autres critères (taux d’anticorps, atténuation des symptômes) ne sont que de mauvais substituts parfois utilisés par les fabricants pour masquer le manque d’efficacité réelle.
La réelle efficacité de certains vaccins classiques a assuré leur bonne réputation. Ainsi une seule dose de vaccin contre la fièvre jaune suffit pour conférer une protection à vie contre la maladie à 99 % des sujets vaccinés. De même la vaccination antivariolique, alliée aux mesures d’isolement et d’endiguement classiques, a protégé les vaccinés de ce fléau mortifère, et permis l’éradication de la maladie pour laquelle il n’existait heureusement pas de réservoir animalier.
À l’opposé, certains vaccins sont peu efficaces comme celui contre la grippe dont le virus mute facilement et change chaque année, obligeant les fabricants à parier sur la souche qui sévira l’hiver prochain. Lorsqu’ils perdent leur pari, le vaccin réalisé, inadapté à la souche dominante, est très peu efficace.
La folle propagande des fabricants reprise par l’OMS et la plupart des gouvernements et médias prétendait que l’efficacité atteignait 95-97 % même si certains journalistes avertissaient : "Ces entreprises de biotechnologie ont besoin de s’affirmer, de montrer leur réussite quitte à donner des résultats enthousiasmants avant que les essais soient terminés."
Fabricants et gouvernants ont été obligés de concéder que "les vaccins ne protègent pas à 100 %". Mais curieusement, au lieu de reconnaître l’échec de leur stratégie purement vaccinale et d’en changer pour les traitements précoces qui ont fait leurs preuves en Inde, Algérie, Madagascar ou en Afrique, ils ont conseillé de nouvelles injections promettant que ces dernières seraient plus efficaces. Mais depuis lors, on a pu observer des covid-19 sévères après 4 injections. Tous vaccinés, mais pas protégés. Les injections anti-covid évitent-elles la diffusion de la maladie ?
Un autre slogan publicitaire du gouvernement, diffusé par tous les médias et la sécurité sociale faisait appel à l’altruisme : "vaccinez-vous pour protéger les autres" ou "Quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de continuer à contaminer les autres. Mais ces affirmations sont totalement démenties par l’expérience en vie réelle. Les vaccinés transmettent en effet la maladie autour d’eux. La pseudo-vaccination s’est révélée totalement incapable de protéger les autres parce qu’elle ne stoppe pas les transmissions.
Les données de l’OMS du 21 juin 2022 montrent clairement que malgré plus de 12 milliards de doses injectées à plus de 45 % de l’humanité, le nombre de nouveaux cas a été multiplié par 6 depuis les pseudo-vaccinations.
Des bénéfices colossaux et des liens d’intérêtAu prix moyen de 20 euros, les 12 milliards de doses déjà injectées ont représenté un gain de 240 milliards d’euros pour les fabricants et distributeurs des pseudo-vaccins. En 2021 le chiffre d’affaires de Pfizer a bondi de 95 % atteignant 81,3 milliards de dollars, et son bénéfice net a plus que doublé, à 22 milliards de dollars. Pour 2022 la firme prévoit un chiffre d’affaires global compris entre 98 et 102 milliards de dollars.
Cette manne lui permet de financer d’innombrables lobbyistes, des cabinets de conseil qui orientent les décisions publiques, des sociétés savantes, des experts des agences sanitaires, de nombreux professeurs leaders d’opinion, des médecins de plateaux télé, des journalistes mainstream, et les décodeurs de prétendues fake news (c’est-à-dire toutes les informations qui pourraient nuire aux ventes) et même parfois peut-être de corrompre les décideurs politiques.