15/04/2023

Pour en revenir à la récente crise sanitaire

 


A l’heure où sort un rapport, qui, en mots choisis, dézingue la gestion d’une épidémie, qui n’en fut pas une, par le gouvernement et qui nous aura coûté plusieurs centaines de milliards, en pure perte, il faut tout de même se pencher sur quelques détails croustillants, que nous avions dénoncés et qui nous avaient fait passer pour des "complotistes".
Maintenant que les cerveaux sont reposés, on peut réfléchir dessus, avec un peu plus d’acuité et un peu moins de matraquage télévisuel.
Les premiers vaccins sont arrivés dans des camions frigorifiques, à moins 70°C, escortés par des motards et les derniers traînaient des jours, sur les étagères, dans les barnums improvisés, pour vacciner en masse. Et pourtant, c’était censé être le même produit...
Il fallait se faire vacciner "pour protéger les autres". Je vous laisse cogiter sur un processus scientifique permettant ce tour de passe-passe. 



Les masques, dans un premier temps, interdits à la vente chez les pharmaciens et dont la porte parole du gouvernement ne savait pas se servir, ont finalement été rendus obligatoires, à partir de six ans.
Selon que vous buviez votre café debout ou assis, la contamination n’était pas la même. La caissière du super marché qui tripotait vos produits avant de vous les rendre, opérait derrière un plexiglas. Les rayons des livres et journaux n’étaient pas dangereux, celui des petites culottes, si.
Les gens en bonne santé étaient asymptomatiques.
Des types continuent à se balader dans leur voiture personnelle avec un masque...


Aurons-nous un jour des explications rationnelles???…


Merci à Pierre D.