Illustration de Jack Davis pour une couverture de "Mad" |
Il a tourné sa vie dans tous les sens
Pour savoir si ça avait un sens l'existence
Il a demandé leur avis à des tas de gens ravis, ravis
De donner leur avis sur la vie
Il a traversé les vapeurs des derviches tourneurs
Des haschich fumeurs
Et il a dit
La vie ne vaut rien, rien
La vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens
Mais moi quand je tiens
Là dans mes deux mains éblouies
Les deux jolis petits seins de mon amie
Là je dis rien, rien, rien
Rien ne vaut la vie
Il a vu l'espace qui passe
Entre la jet set, les fastes, les palaces
Et puis les techniciens de surface
D'autres espèrent dans les clochers, les monastères
Voir le vieux sergent pépère mais ce n'est que Richard Gere
Il est entré comme un insecte sur site d'internet
Voir les gens des sectes
Et il a dit
La vie ne vaut rien, rien
La vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens
Mais moi quand je tiens
Là dans mes deux mains éblouies
Les deux jolis petits seins de mon amie
Là je dis rien, rien, rien
Rien ne vaut la vie
Il a vu le manque d'amour, manque d'argent
Comme la vie c'est détergent
Et comme ça nettoie les gens
Il a joué "jeux interdit" pour des amis endormis
La nostalgie
Et il a dit
La vie ne vaut rien, rien
La vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens
Mais moi quand je tiens
Là dans mes deux mains éblouies
Les deux jolis petits seins de mon amie
Là je dis rien, rien, rien
Rien ne vaut la vie
Rien, rien, rien
Rien ne vaut la vie
Rien, rien, rien
Rien ne vaut la vie