06/09/2017

Jean Seberg


Après la "Sainte Jeanne" d'Otto Preminger en 1957, la France retrouva l'année suivante le charmant minois de l’actrice américaine dans l’adaptation de "Bonjour tristesse" de Françoise Sagan par le même réalisateur.







Puis il y aura "A bout de souffle" en 1960 qui fera de Jean Seberg une icône de la Nouvelle Vague.




Jean Seberg avait gardé la coupe de cheveux de son tout premier rôle dans "Sainte Jeanne" et pour l'imiter, de nombreuses jeunes femmes abandonnèrent la coiffure choucroute à la BB pour adopter les cheveux courts. 









Elle épousera en 1963 un certain Romain Kacew plus connu sous le nom de Romain Gary. Elle avait 24 ans et l’écrivain qui exerçait alors les fonctions de consul général de France à Los Angeles en avait 49. 

 Le mariage en catimini à Sarrola-Carcopino, en Corse. 





L’auteur deux fois couronné par le prix Goncourt pour "Les Racines du ciel" en 1956 et pour "La vie devant soi" en 1975 (sous le pseudo d’Emile Ajar) tournera avec sa jeune épouse deux films qui ne laisseront pas une grande trace dans l’histoire du cinéma : "Les oiseaux vont mourir au Pérou" en 1968 et "Kill" en 1972. 


 



Le couple divorcera en 1970. Jean Seberg se suicidera en 1979 et Romain Gary se donnera à son tour la mort un an après. 

J'aimais bien Jean Seberg...