Dans mon enfance, "Afrique" était pour moi un mot magique.
Je me souviens que mon frère aîné achetait la revue "Sciences et voyages" dont je dévorais littéralement les reportages sur l’Afrique noire, ses peuples de la savane, de la grande forêt ou de la brousse, les hommes-léopards, les cannibales, les pygmées, etc., articles parfois illustrés de photos de négresses aux seins nus…
Je me souviens que mon frère aîné achetait la revue "Sciences et voyages" dont je dévorais littéralement les reportages sur l’Afrique noire, ses peuples de la savane, de la grande forêt ou de la brousse, les hommes-léopards, les cannibales, les pygmées, etc., articles parfois illustrés de photos de négresses aux seins nus…
De nombreux voyages m’ont par la suite amené sur le continent noir.
Logiquement, j’aurai dû me fixer quelque part entre Djibouti et Dakar, Douala ou Pointe-Noire.
Mais je n’ai été finalement qu’un visiteur, un passant…
Logiquement, j’aurai dû me fixer quelque part entre Djibouti et Dakar, Douala ou Pointe-Noire.
Mais je n’ai été finalement qu’un visiteur, un passant…