26/08/2023

Acharnement médiatique

ALERTE : Le nouveau sinistre de la santé, le très covidiste Aurélien Rousseau, veut qu'on remette le masque. C'est reparti pour un tour avec leur saloperie de covid...







Rappel de ce qu'ont dû subir dernièrement les non-vaccinés :

Dès juin 2021, les attaques par des personnalités connues ou des journalistes se multiplièrent à l’encontre des non vaccinés. Plus les mots étaient outranciers, plus les journaux relayaient l’information. Une seule déclaration pouvait être reprise par de nombreux médias, débattue dans plusieurs émissions radio ou télé, ce qui en faisait une redoutable bombe à fragmentation. Ce tapis de bombes a arrosé tous les médias, quasiment tous les jours de juin 2021 à février 2022.

Les mots "non vaccinés", "antivax", "inconscients", "irresponsables", "complotistes", étaient systématiquement associés dans les titres. Ces éléments de langage répétés via la presse, la radio et la télé allaient avoir une influence déterminante sur l’opinion des Français.
Le pompon, fu l’interview de Macron le 4 janvier 2022. (Il s’était déjà exprimé en juillet 2021 en traitant les non vaccinés d’égoïstes et d’irresponsables.) Les mots étaient très durs. Il leur dénia même le statut de citoyens. "Eh bien, là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder." Le buzz fonctionna à merveille. Quelques-uns s’insurgèrent, mais le mal était fait, ce fut une réaction en chaîne. Tous les journaux reprirent, mots pour mots, la formule de Macron. Olivier Véran, Jean Castex tentèrent de minimiser la gravité de l’insulte tout en la justifiant. D’autres, à sa suite, allèrent encore plus loin dans l’outrance. Valérie Rabault au nom du PS prôna la vaccination obligatoire pour tous, Christian Estrosi, la suppression de l’assurance chômage et le confinement ciblé des non vaccinés.
La presse embrassait la main de son maître, celle qui la nourrit. Avec un peu de courage et de lucidité, les titres auraient pu être : "Macron, irresponsable, insulte les Français", "Macron prépare les élections en divisant les Français", "En plus d’être immoral, notre président est grossier". Mais ça, c’est si le journalisme indépendant existait encore, à la place c'était la presse aux ordres. Non contente de relayer complaisamment ces propos immondes, elle les abondait en produisant des éditos, des rubriques et des articles du même acabit.  Les non vaccinés y étaient affublés des pires tares.
Cette faillite morale et journalistique aura pour conséquence à terme une chute accélérée de la crédibilité des médias.
Les non vaccinés, quant à eux, devaient affronter l’adversité, les médisances, les accusations, les peurs irrationnelles. Une nouvelle discrimination était née, celle lié au statut vaccinal...