A propos des pratiques de certains journalistes, voici, par exemple, de quelles manières différentes serait traité le viol d'une jeune fille blanche par un migrant, un crime devenu banal comme il s’en produit malheureusement trop souvent en France :
Article écrit par un journaliste normal :
"Une jeune fille de 10 ans a subi un viol ce week-end"
Un suspect a été interpellé sur les lieux du crime un couteau à la main. L’individu en question passera-t-il aux aveux ? Il s'agit d'un mineur isolé originaire d’Afrique noire, prénommé Aboubacar, défavorablement connu des services de police et déjà sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français).
Ramenée aux urgences entre la vie et la mort, les jours de la jeune victime ne seraient plus en danger.
Article écrit par un journaliste "aux ordres":
"Une jeune fille aurait subi un viol ce week-end"
Un suspect, mineur isolé, Jérôme (le prénom a été changé) a été interpellé sur les lieux de cette soi-disant agression sexuelle, il tenait un objet contondant à la main. D’après l’AFP, le viol ne serait pas avéré. Inutile de rappeler à nos lecteurs que la présomption d’innocence doit prédominer avant tout.
Au commissariat local, nous avons pu entrapercevoir le suspect pendant quelques secondes. Le regard de Jérôme était marqué par la tristesse et l’incompréhension. Pourquoi la police française l’avait-elle donc arrêté ? Son visage imberbe de "petit ange" plein d’innocence est-il le reflet d’une méchanceté quelconque ? Bien sûr que non ! Les blessures superficielles de la "prétendue" victime le prouvent puisqu’elle n’est pas morte.
Mais nous savons déjà que certains médias titreront avec une avidité malsaine : "Viol d’une petite fille blanche de 10 ans par un migrant".
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Les médias aux ordres :
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