01/01/2024

Bonne année, bonne santé...

 
















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ADDENDA


- Cher François, 
Un petit message de l'ouest pour prendre des nouvelles ; j'espère que vous vous portez bien et que nulle tuile ne vous a éloigné de votre blog. S'il est bien facile de coucher telle pensée depuis chez soi, j'ai également conscience que la tenue d'un site demande un travail, une assiduité et un abandon dont je suis bien incapable. Je serais bien en mal de vous en vouloir de faire une pause ou d'arrêter. Prenez bien soin de vous.
Salutations amicales, Stéphane - 22.02.2024

- Cher Stéphane,
J'apprécie très fort votre sympathique message. Je ne me porte pas trop mal, merci (comme une personne qui va fêter ses quatre-vingt trois printemps cette année, avec mon épouse dont je suis l'aîné de quinze jours...). J'ai en effet décidé volontairement d'arrêter mon blog sur le billet "Bonne année, bonne santé". Si à sa création il y a sept ans je prenais plaisir à évoquer mes racines, mes souvenirs de jeunesse, de voyages, mes coups de cœur, j'ai été fatigué de parler de cette fumisterie de covid, du vaccin, de Macron, Castex, Véran, et autres politicards et journalistes aux ordres. J'ai l'impression d'avoir gâché des années de ma vie, comme à l'époque de mon service militaire. Et la situation actuelle du pays ne m'encourage pas à continuer. Par ailleurs, j'ai toujours de quoi occuper mon temps avec l'écriture et la peinture. Encore merci. 
Croyez en mes sentiments les plus cordiaux. FS


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- Bonjour Monsieur.
Nous avons brièvement échangé il y a 5 ans de cela et j'ai depuis consulté votre blog chaque jour. Il va nous manquer. Conservez bonne santé, bonne continuation à vous. Très cordialement. Fabrice Minko - 3 mars 2024


- Cher monsieur Minko,
Hélas, tout a une fin. Il m'était devenu pénible de parler des politicards corrompus, des médecins voyous et de leur fumisterie de covid. J'ai l'impression d'avoir perdu plus de deux années de ma vie, comme à l'époque de mon service militaire. Le blog n'est pas supprimé et vous pouvez toujours vous promener parmi ses 2177 articles par le biais des archives. Avec mes remerciements pour votre fidélité. Bien à vous. FS


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- Bonne continuation de ce nouveau modèle de vie. Longue vie à toi et ton épouse. Cordialement, Le factotum - 9 mars 2024

- Merci mon cher ami du Québec,
Tu auras compris que j'en avais assez de parler sur mon blog de ces malfaisants qui nous ont fait vivre presque trois années covido-ubuesque. Merci pour ta fidélité. Je te souhaite à mon tour une longue vie auprès de Madame Roch. Bien amicalement. FS 


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- Cher François, Ton blog va me manquer. Tes écrits ont souvent remonté le moral à la "complotiste" que je suis. Tu nous as fait partager tes connaissances afin d'aller vers le "haut" et non le contraire. Tout cela tempéré de séquences humoristiques. Je comprends tes motivations mais tout cela va me manquer énormément. A bientôt de te lire dans un nouveau livre, j'espère. MERCI pour tout. A bientôt. Yveline -14 mars 2024

- Bonsoir chère Yveline, et merci pour ton très gentil message. J'ai toujours de quoi occuper mes journées avec la peinture, l'écriture, et... le chat. Bises. FS


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31/12/2023

La petite marchande d'allumettes

 


Comme il faisait froid ! La neige tombait et la nuit n’était pas loin ; c’était le dernier soir de l’année, la veille du jour de l’an. Au milieu de ce froid et de cette obscurité, une pauvre petite fille passa dans la rue, la tête et les pieds nus.
Elle avait, il est vrai, des pantoufles en quittant la maison, mais elles ne lui avaient pas servi longtemps : c’étaient de grandes pantoufles que sa mère avait déjà usées, si grandes que la petite les perdit en se pressant de traverser la rue entre deux voitures. L’une fut réellement perdue ; quant à l’autre, un gamin l’emporta avec l’intention d’en faire un berceau pour son petit enfant, quand le ciel lui en donnerait un.
La petite fille cheminait avec ses petits pieds nus, qui étaient rouges et bleus de froid ; elle avait dans son vieux tablier une grande quantité d’allumettes, et elle portait à la main un paquet. C’était pour elle une mauvaise journée ; pas d’acheteurs, donc pas le moindre sou. Elle avait bien faim et bien froid, bien misérable mine.
Pauvre petite ! Les flocons de neige tombaient dans ses longs cheveux blonds, si gentiment bouclés autour de son cou ; mais songeait-elle seulement à ses cheveux bouclés ?
Les lumières brillaient aux fenêtres, le fumet des rôtis s’exhalait dans la rue ; c’était la veille du jour de l’an : voilà à quoi elle songeait.
Elle s’assit et s’affaissa sur elle-même dans un coin, entre deux maisons. Le froid la saisit de plus en plus, mais elle n’osait pas retourner chez elle : elle rapportait ses allumettes, et pas la plus petite pièce de monnaie. Son père la battrait ; et, du reste, chez elle, est-ce qu’il ne faisait pas froid aussi ? Ils logeaient sous le toit, et le vent soufflait au travers, quoique les plus grandes fentes eussent été bouchées avec de la paille et des chiffons.
Ses petites mains étaient presque mortes de froid. Hélas ! qu’une petite allumette leur ferait du bien ! Si elle osait en tirer une seule du paquet, la frotter sur le mur et réchauffer ses doigts ! Elle en tira une : ritch ! comme elle éclata ! comme elle brûla ! C’était une flamme chaude et claire comme une petite chandelle, quand elle la couvrit de sa main. Quelle lumière bizarre ! Il semblait à la petite fille qu’elle était assise devant un grand poêle de fer orné de boules et surmonté d’un couvercle en cuivre luisant. Le feu y brûlait si magnifique, il chauffait si bien ! Mais qu’y a-t-il donc ! La petite étendait déjà ses pieds pour les chauffer aussi ; la flamme s’éteignit, et le poêle disparut : elle était assise, un petit bout de l’allumette brûlée à la main.
Elle en frotta une seconde, qui brûla, qui brilla, et, là où la lueur tomba sur le mur, il devint transparent comme une gaze. La petite pouvait voir jusque dans une chambre où la table était couverte d’une nappe blanche, éblouissante de fines porcelaines, et sur laquelle une oie rôtie, farcie de pruneaux et de pommes, fumait avec un parfum délicieux.
Ô surprise ! ô bonheur ! Tout à coup l’oie sauta de son plat et roula sur le plancher, la fourchette et le couteau dans le dos, jusqu’à la pauvre fille.
L’allumette s’éteignit : elle n’avait devant elle que le mur épais et froid.
En voilà une troisième allumée. Aussitôt elle se vit assise sous un magnifique arbre de Noël ; il était plus riche et plus grand encore que celui qu’elle avait vu, à la Noël dernière, à travers la porte vitrée, chez le riche marchand.
Mille chandelles brûlaient sur les branches vertes, et des images de toutes couleurs, comme celles qui ornent les fenêtres des magasins, semblaient lui sourire.
La petite éleva les deux mains : l’allumette s’éteignit ; toutes les chandelles de Noël montaient, montaient, et elle s’aperçut alors que ce n’était que les étoiles.
Une d’elle tomba et traça une longue raie de feu dans le ciel.
"C’est quelqu’un qui meurt" se dit la petite ; car sa vieille grand’mère, qui seule avait été bonne pour elle, mais qui n’était plus, lui répétait souvent : "Lorsqu’une étoile tombe, c’est qu’une âme monte à Dieu."
Elle frotta encore une allumette sur le mur : il se fit une grande lumière au milieu de laquelle était la grand’mère debout, avec un air si doux, si radieux !
"Grand’mère s’écria la petite, emmène-moi. Lorsque l’allumette s’éteindra, je sais que tu n’y seras plus. Tu disparaîtras comme le poêle de fer, comme l’oie rôtie, comme le bel arbre de Noël."
Elle frotta promptement le reste du paquet, car elle tenait à garder sa grand’mère, et les allumettes répandirent un éclat plus vif que celui du jour.
Jamais la grand’mère n’avait été si grande ni si belle. Elle prit la petite fille sur son bras, et toutes les deux s’envolèrent joyeuses au milieu de ce rayonnement, si haut, si haut, qu’il n’y avait plus ni froid, ni faim, ni angoisse ; elles étaient chez le bon Dieu. 
Mais dans le coin, entre les deux maisons, était assise, quand vint la froide matinée, la petite fille, les joues toutes rouges, le sourire sur la bouche... Morte, morte de froid, le dernier soir de l’année.
Le jour de l’an se leva sur le petit cadavre assis là avec les allumettes, dont un paquet avait été presque tout brûlé.
"Elle a voulu se chauffer !" dit quelqu’un.
Tout le monde ignora les belles choses qu’elle avait vues, et au milieu de quelle splendeur elle était entrée avec sa vieille grand’mère dans la nouvelle année.

Hans Christian Andersen (1805-1875)



30/12/2023

Cœur cabossé ♫

 




Au bar du Duc de Nevers
Au bout d’ la rue d’ la Croix-Nivert
On boit des bières à la pression
Les robinets sont des poissons
La fill’ qui sert des p’tits rosés
Elle a le cœur tout cabossé

Cœur cabossé lancé
Dans les étoiles
Cœur cabossé tombé
Dans le fossé

Son mec c’était un zozo
Un p’tit mat’lot d’ Valparaiso
Mais entre Brest et Cotonou
Parfois les amours se dénouent
Passer le huitièm’ parallèl’
Cupidon eut un coup dans l’aile

Cœur cabossé lancé
Dans les étoiles
Cœur cabossé tombé
Dans le fossé

Les typ’s qui traîn’nt par ici
Ont tous la fièvre de Bercy
Ils se brûl’nt la gueule au pernod
Auquel ils n’ajoutent pas d’eau
La fill’ qui a le cœur cabossé
Ils se batt’nt pour la fair’ danser

Cœur cabossé lancé
Dans les étoiles
Cœur cabossé tombé
Dans le fossé

Cett’ fille qui dit jamais non
On connaît pas vraiment son nom
Mais sur le dos d’un arc-en-ciel
Elle vous emmène au septièm’ ciel
Certes elle met du cœur à l’ouvrage
Mais elle n’est jamais du voyage

Cœur cabossé lancé
Dans les étoiles
Cœur cabossé tombé
Dans le fossé



ADDENDA

Magnifique chanson d'Adamo découverte à la télé le dimanche 16 juin 2024



Menteur

 





Fais moi une place ♫



 Paroles de Françoise Hardy, musique Julien Clerc (1990)


Fais-moi une place au fond d'ta bulle
Et si j't'agace, si j'suis trop nul
Je deviendrai tout pâle, tout muet, tout p'tit
Pour qu' tu m'oublies

Fais-moi une place au fond d'ton cœur
Pour que j't'embrasse lorsque tu pleures
Je deviendrai tout fou, tout clown, gentil
Pour qu'tu souries

J'veux qu't'aies jamais mal, qu't'aies jamais froid
Et tout m'est égal, tout, à part toi
Je t'aime

Fais-moi une place dans ton av'nir
Pour que j'ressasse moins mes souvenirs
Je s'rai jamais éteint, hautain, lointain
Pour qu'tu sois bien

Fais-moi une place dans tes urgences
Dans tes audaces, dans ta confiance
Je s'rai jamais distant, distrait, cruel
Pour qu'tu sois belle

J'veux pas qu'tu t'ennuies, j'veux pas qu't'aies peur
J'voudrais qu'tu oublies l'goût du malheur
Je t'aime

Une petite place, ici, maintenant
Car le temps passe à pas d'géant
Je me ferai tout neuf, tout beau, tout ça
Pour être à toi
Je me ferai tout neuf, tout beau, tout ça
Pour être à toi
Pour être à toi


Vaccin-poison...




Bilan de la période covido-ubuesque



Des chercheurs japonais ont déclaré avoir trouvé des preuves de lésions cardiaques à long terme chez des personnes ayant reçu le vaccin ARNm contre le Covid19, à cause de la modification irréversible de l'ADN.

"Les non vaccinées sont les seuls "SANG PUR" qui restent sur Terre. Si vous avez été vacciné, vous avez permis à votre ADN d'être modifié. Votre corps ne sera plus jamais le même, vous ne pouvez pas inverser la thérapie génique une fois qu'elle a été injectée avec la technologie de l'ARNm"



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Souvenirs de récents réveillons...



Pendant la période covid, le passage d'une année sur l'autre ne se faisait pas sans restrictions. Le sinistre Castex avait mis en place des mesures pour limiter les chaînes de contamination la nuit du 31 décembre au 1er janvier : nombre de personnes à table limité à six, éviter les embrassades, port du masque FFP2 pour les personnes les plus fragiles, limitation des rassemblements, appel à se faire tester le 31 décembre par test antigénique ou autotest et 5 jours après (même si les gens étaient vaccinés avec une dose de rappel), etc.





29/12/2023

La révolution des coccinelles

 


Les coccinelles sont aux insectes ce que les hirondelles sont aux oiseaux. Cet insecte très populaire, surnommé "bête-à-bon Dieu" et dont le nom vient du latin coccinus signifiant écarlate, est un redoutable prédateur d’insectes ravageurs comme les pucerons, les cochenilles et autres nuisibles. 



Tout comme au Portugal les conjurés portaient un œillet à la boutonnière en signe de ralliement lors de la Révolution des œillets contre la dictature, la coccinelle va devenir le symbole des résistants à macron et ses sbires nuisibles.




























28/12/2023

Nazanin Pouyandeh

 Peintre française d'origine iranienne (née en 1981 à Téhéran) ayant fait partie du courant "under realism".







"La saint-Jean" huile sur toile 160x200 cm


"Occupation du monde" huile sur toile 114x146 cm





"Mademoiselle Fifi" huile sur toile 27x35 cm