Lorsque j'étais môme, je me souviens que nous allions chaque veille de Noël, à pied et quel que soit le temps, ma mère, mes deux frères aînés et moi, à la messe de minuit (qui à l'époque commençait vraiment à minuit...) à l'église du village située à un bon kilomètre de la maison.
Au retour, ma mère prétextait chaque fois un besoin pressant pour rentrer à la maison avant nous. Elle se mettait alors à courir, laissant ses enfants derrière elle à cheminer tranquillement. Et comme par miracle, près de la cheminée de la salle à manger, devant le poêle où il n'y avait rien avant notre départ pour la messe, le père Noël avait profité de notre absence pour déposer nos cadeaux. C'était surtout des bouquins, des oranges et des chaussettes neuves. Pour moi, le plus petit, j'avais droit à un supplément de soldats de plomb. (A mon grand dam, je n'ai jamais eu la boite de Meccano de mes rêves...).
Et puis, à l'âge de 6 ans, je n'ai plus cru au père Noël et bientôt, je n'ai plus trop aimé cette période de l'année.
Peintre français (1861-1931) surnommé le “poète de la peinture” pour ses portraits et scènes pleines de délicatesse représentant généralement de fort jolies dames.
Dans les années 60, j’ai connu un monsieur charmant, vice-président de General Foods France, qui se nommait Jacques Martin Kavel. Je pense qu'il avait un lien de parenté avec le peintre…
Pièce horizontale de bois ou de pierre formant la partie supérieure d’une ouverture et servant également à soutenir la maçonnerie au dessus de cette ouverture.
L'entrée d’une habitation étant un élément symbolique important, il était autrefois fréquent que le linteau surmontant la porte principale fasse l’objet de décors et d'inscription de la date de construction du bâtiment.