Mot d’origine congolaise désignant le mammifère ongulé d'Afrique (Équidés) qui tient du cheval et de l’âne, remarquable par les rayures noires ou brunes qui s’étendent sur toute sa robe et sa courte crinière en brosse.
(Un peu comme les Juifs et les Palestiniens...)
Vivant en bandes, le zèbre se sauve à la moindre alerte et il est célèbre pour la rapidité de sa course.
De savants chercheurs de l'Université de Queensland en Australie affirment que les rayures du zèbre lui servent à confondre ses prédateurs (y compris les insectes piqueurs) en créant une sorte d’illusion d'optique. Les "informations trompeuses" données par les bandes verticales étroites sur le dos et le cou du zèbre combiné avec les larges rayures diagonales sur son flanc dégageraient des signaux de mouvements inattendus faisant confondre, à ceux qui l'attaquent, le sens de déplacement du zèbre.
"Le cinquième jour" - huile sur toile 55x46 cm
Il y eut un soir et il y eut un matin : ce fut le cinquième jour.
Dieu dit :
- Que la terre produise des animaux vivants,
des reptiles, des animaux terrestres.
Et cela fut ainsi.
Après avoir examiné son œuvre
Dieu dit à l'ange qui tenait la liste des animaux créés :
- Je ne suis pas content du zèbre, il ressemble trop au cheval.
Rayez-le !
Enfin, en langage populaire, le mot zèbre désigne un individu bizarre (un drôle de zèbre) mais ceci est une autre histoire…

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