Dans le Malade imaginaire de Molière, c'est le nom de deux médecins qui enrobaient leur incompétence d’un jargon prétentieux, le père d'un orgueil ridicule et son fils, un grand benêt nouvellement sorti des Écoles.
"- Clystea donare, postea saignare, ensuita purgare.- Bene, bene, bene respondere, dignus, dignus est entrare in nostro docto corpore. "
Voilà qui rappelle certains éminents membres du Conseil scientifique et notre actuel sinistre de la santé faisant quotidiennement la démonstration de sa vanité et de son impuissance...
Son complice ne vaut pas mieux :
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