L'autorité étant le pouvoir d'imposer l'obéissance.
Pour ce qui me concerne, je n'ai accepté que l'autorité maternelle (et encore...).
En effet, dès le premier jour de ma scolarité, j'ai été réfractaire à une autorité éducative réduite au rapport domination/soumission que certains enseignants imposaient à leurs élèves. A l'époque, on considérait trop souvent que l'écolier devait être bridé et soumis par l'instituteur.
Par la suite, j'ai toujours eu du mal à accepter toute autorité construite sur un modèle hiérarchique.
Comme ce fut le cas lorsque vint le temps du service militaire obligatoire. J'ai alors connu l'autoritarisme et les abus de pouvoir de caporaux instructeurs bornés, de sous-officiers et d'officiers tyranniques qui exerçaient une domination sur les soldats afin d'obtenir une obéissance inconditionnelle sous forme de soumission.
Dans le monde professionnel, j'ai côtoyé des chefaillons haïssables et des dirigeants à l'autorité usurpée pour lesquels les subordonnés ne pouvaient avoir aucune considération.
Aujourd'hui, je suis allergique aux organes de pouvoir que l'on appelle "autorités", quelles soient gouvernementales, administratives, civiles ou religieuses.
C'est grave docteur ?
En effet, dès le premier jour de ma scolarité, j'ai été réfractaire à une autorité éducative réduite au rapport domination/soumission que certains enseignants imposaient à leurs élèves. A l'époque, on considérait trop souvent que l'écolier devait être bridé et soumis par l'instituteur.
Par la suite, j'ai toujours eu du mal à accepter toute autorité construite sur un modèle hiérarchique.
Comme ce fut le cas lorsque vint le temps du service militaire obligatoire. J'ai alors connu l'autoritarisme et les abus de pouvoir de caporaux instructeurs bornés, de sous-officiers et d'officiers tyranniques qui exerçaient une domination sur les soldats afin d'obtenir une obéissance inconditionnelle sous forme de soumission.
Dans le monde professionnel, j'ai côtoyé des chefaillons haïssables et des dirigeants à l'autorité usurpée pour lesquels les subordonnés ne pouvaient avoir aucune considération.
Aujourd'hui, je suis allergique aux organes de pouvoir que l'on appelle "autorités", quelles soient gouvernementales, administratives, civiles ou religieuses.
C'est grave docteur ?