Souvenons nous du projet élyséen pour les non-vaccinés qui n’était pas un grand secret, puisque l’Est Républicain avait fait fuiter l’information : créer un système de QR-codes à scanner avant l’entrée dans les lieux publics pour identifier et suivre la personne. Le calcul politique était simple : les quelques récalcitrants, estimés à 20 % par la présidence, devront capituler de lassitude dans la guerre d’usure, sous peine d’être privés de restaurants, de vie culturelle, de vie sociale tout court.
Dans l'émission "The Highwire", Del Bigtree lit la lettre d'une Australienne vaccinée qui admet qu'elle était gênée par le courage et les principes des non-vaccinés qui tenaient bon face à la dictature sanitaire.
"Si Covid était un champ de bataille, il serait encore chaud des corps des non-vaccinés. Heureusement, les contraintes se relâchent et les belligérants des eux côtés reviennent à une nouvelle normalité.
Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérimentation et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid.
Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement, mais personne ne veut parler de ce que nous leur avons fait et de ce qu’ils ont obligé la science à dévoiler.
Nous savions que l’immunité décroissante des personnes entièrement vaccinées avait le même profil de risque que les autres membres de la société, comme la minorité des non-vaccinés, mais nous les avons ciblés pour une persécution spéciale.
Vous voyez, nous avons dit qu’ils n’avaient pas « fait ce qu’il fallait pour le bien de tous » en remettant leur corps et leur autonomie médicale à l’État.
De nombreux soi-disant experts de la santé et dirigeants politiques en Australie ont admis que l’objectif était de rendre la vie presque invivable aux non-vaccinés, ce qui a été multiplié plusieurs fois par la foule collective, avec un combat à mener dans les lieux de travail, les amitiés et les réunions de famille.
Aujourd’hui, la dure vérité est que rien de tout cela n’était justifié, alors que nous sommes passés rapidement de la droiture à la cruauté absolue. Nous pourrions rejeter la faute sur nos dirigeants et nos experts en santé pour cette incitation, mais chaque individu au sein de la société doit être tenu responsable d’être tombé dans le piège bien tendu.
Nous l’avons fait en sachant très bien que l’opposition de principe n’a pas de prix quand il s’agit de ce qui entre dans notre corps et nous nous sommes laissés tromper en croyant qu’entrer dans un autre verrouillage inefficace serait la faute des non-vaccinés et non la faute de la politique toxique de vaccins inefficaces.
Nous avons pris plaisir à faire des boucs émissaires des non-vaccinés parce qu’après des mois de confinements orchestrés par des dirigeants politiques aveuglés par le pouvoir, avoir quelqu’un à blâmer et à brûler sur le bûcher faisait du bien.
Nous pensions que nous avions la logique, l’amour et la vérité de notre côté, il était donc facile de souhaiter la mort aux non-vaccinés.
Ceux d’entre nous qui ont ridiculisé les non-conformistes et s’en sont moqué l’ont fait parce que nous étions gênés par leur courage et leurs principes et que nous ne pensions pas que les non-vaccinés s’en sortiraient indemnes et nous avons transformé les résistants en punching-balls. Bonnie Henry, Teresa Lam, Lori Wanamaker, Anthony Fauci, Trudeau et les autres centaines d’acteurs occupant des rôles de premier plan doivent être tenus responsables d’avoir vilipendé les non-vaccinés en public et d’avoir alimenté la colère des foules sur les réseaux sociaux.
Les foules, les nazis masqués et les disciples du vaccin ont été gênés de « parier contre » les non-vaccinés parce que les contraintes sanitaires n’avaient que le pouvoir que nous leur donnions.
Ce n’est pas le conformisme qui a mis fin à la domination des grandes sociétés pharmaceutiques, de Bill Gates et de ses nombreuses organisations, et du Forum économique mondial… C’est grâce aux personnes que nous avons essayé d’embarrasser, de ridiculiser, de moquer et de démolir.
Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort.
Donc, si jamais les contraintes sanitaires réapparaissent lors du Covid ou de toute autre maladie ou virus, espérons-le, davantage d’entre nous seront éveillés et verront l’autoritarisme croissant qui ne se soucie pas de notre bien-être et est plus une question de pouvoir et de contrôle.
La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous en être très reconnaissants."
C'est un Belge qui monte dans un train où il a réservé sa place. En face de lui se trouvent déjà deux Français costumés et cravatés qui pianotent sur leur ordinateur.
Notre brave Belge commence à manger son sandwich. Au bout de quelques minutes, il demande à l'un des deux hommes, avec un fort accent Belge :
- Puiche-je savoir où vous z'allez, une fois ?
- Et bien moi, je vais à Pariss, répond le Français d'un air moqueur.
Le Belge a mal compris et demande :
- Parissss ?
- Oui, Paris avec deux S !
Le Belge se demande pourquoi Paris avec deux S mais n'en rajoute pas et continue a déguster son sandwich.
Un peu plus tard, il s'adresse à l'autre Français et lui demande :
- Et vous, où allez-vous ?
- Et bien moi, répond le deuxième Français, également d'un air moqueur, je vais à Bordeauxx avec deux X !
Le Belge ne répond pas et s'interroge sur ces deux hommes qui se moquent de lui.
Tout à coup l'un des deux Français cravatés se tourne vers notre Belge et lui demande :
La Poste a annoncé le 21 juillet 2022 un renouvellement de sa gamme de courrier à compter du 1er janvier 2023. Mesure la plus emblématique : la fin du célèbre timbre rouge des lettres prioritaires, au profit d’un système de "e-lettre". Avec cette véritable usine à gaz, il faudra rédiger son courrier sous format électronique directement sur le site web de la Poste qui se chargera de l'imprimer et de l'envoyer au destinataire. On paiera donc pour envoyer un e-mail, révolutionnairement rebaptisé "e-lettre".
Avec cette invention de génie, on pourra dire adieu à la confidentialité de nos courriers rapides et de nos lettres d’amour...
Revers momentané dans une entreprise. Insuccès, fiasco...
En langage populaire, on dit faire chou blanc, tomber sur un bec, ramasser une gamelle, se prendre un râteau, se casser le nez, prendre une veste...
Le mot vient de l'arabo-persan shâh, dans l'expression shâh mat, signifiant "le roi est mort". Au jeu dit des échecs, l'interjection "échec" lancée par un joueur marque que le roi de son adversaire est en danger d'être pris.
Macron effectuera du 25 au 28 juillet une tournée africaine qui l’emmènera au Cameroun, au Bénin et en Guinée-Bissau. Il n'y a pas d'autres priorités en France actuellement ?
Mot emprunté au nom du canut lyonnais dont Mourguet, à la fin du XIX° siècle, fit le héros de son théâtre de marionnettes. Désigne aujourd'hui une personne involontairement comique ou ridicule.
Représentation du couple Macron dans une émission satyrique de la télé polonaise :
Exprimer une impression de gaieté provoquée par quelque chose de plaisant, de comique, c'est très efficace pour oublier les problèmes, les ennuis, les contrariétés, les déceptions.
En langage populaire on dit rigoler, se marrer, se bidonner, se gondoler, se poiler, se tordre, se fendre la poire...
Pendant le défilé militaire, la "première dame" portait une affreuse robe Vuitton coûtant la modeste somme de 2900€. A sa droite sur la photo, le gros barbu hirsute à chaussettes blanches est le nouveau ministre de la santé... Quelle classe !