Fille de Zeus et Léto, sœur d'Apollon, Artémis était généralement représentée armée d'un arc et de flèches. Déesse de la chasse, elle n'en était pourtant pas moins la protectrice des bêtes sauvages... Elle est assimilée à la Diane des Romains.
Pendant de nombreux siècles, le culte d'Artémis a été l’un des plus importants de la religion païenne. Très répandu sous l’Antiquité, le prénom Artémise est tombé en désuétude pendant de nombreux siècles avant de revenir à la Renaissance s’épanouissant totalement sous l’Ancien Régime et au sein des familles nobles. Aujourd'hui, de rares personnes portent encore ce prénom en France (fête le 25 janvier).
♫ Artémise, enlève ta chemise...♫
Tout ça pour en venir à l'artemisia, le nom scientifique de l'armoise, plante herbacée vivace ou annuelle à odeur aromatique dont les nombreuses variétés possèdent des propriétés médicinales. En particulier artémisia annua utilisée depuis toujours en médecine ayurvédique pour ce qu’on appelait les fièvres intermittentes.
L'artémisia annua aurait un fort potentiel en ce qui concerne le traitement de la malaria. Antipaludique redoutable, elle détruirait le parasite responsable de la maladie, le plasmodium qui circule dans le sang. On en parle même ces derniers temps à propos du Covid...
Que l'on se rassure, je n'ai pas mal orthographié le pronom personnel "eux" (3ème personne masculin pluriel).
Je veux seulement partager ces vues de la commune d'Eus située dans les Pyrénées Orientales entre la vallée du Conflent et le mont Canigou.
J'ai découvert dernièrement ce village d'environ 400 habitants, considéré comme l'un des plus beaux de France, grâce à l'excellent premier roman de Mélissa Da Costa "Tout le bleu du ciel".
Extrait : "Ils arrivent à Eus dans l'après-midi, sous un ciel de plomb. On dit d'Eus qu'il est le village le plus ensoleillé de France. La chaleur est écrasante, en tout cas. Ils stationnent le camping-car sur un parking, juste avant les murailles. Ils vont découvrir le village à pied. A peine descendus du véhicule, ils restent immobiles de longues secondes. Eus est là, devant eux, sur l'éperon qui leur fait face. C'est un ancien village fortifié accroché au flanc sud de la montagne, construit en terrasse dans la garrigue. Le point culminant du village est le clocher d'une cathédrale."
Ma Daisy s'en est allée rejoindre son vieux copain Félix au paradis des chats.
Je me souviens qu'en une belle matinée ensoleillée du mois d'avril 2008, tandis que je regardais pousser mes plantations printanières, j'ai entendu une voiture s'arrêter devant le jardin, puis le bruit d'une portière que l'on ouvre et que l'on referme presque aussitôt. Et quelques minutes plus tard, une adorable petite boule grise dont un salopard venait de se débarrasser, se présenta à mes pieds. Nous avions déjà notre vieux Félix alors âgé de 18 ans, et j'ai immédiatement pensé que ce chaton, une demoiselle au pelage gris tigré qui répondra au nom de Daisy, lui serait une bonne compagnie pour finir sa vie. Ils vécurent effectivement en bonne intelligence pendant les quatre années suivantes.
Restée seule, Daisy ne tardera pas à devenir la véritable patronne de la maison.
Comme elle va me manquer...
Daisy (2008 - 2020)
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Un grand merci à Catherine, Paule, Yveline, René, Didier, Gilles, Christian et Frédéric pour vos messages amicaux. C'est très sympa.
Après le fiasco de StopCovid, le gouvernement vient de lancer une nouvelle application nommée "Tous anti Covid".
Bon courage ! On se souvient en effet de la méfiance des Français vis-à-vis de StopCovid côté vie privée
Et puis il y a eu Castex enterrant sans fleurs ni couronnes la précédente application de traçage de contacts en avouant à la télé qu'il ne l'avait pas téléchargée.
Je pense qu'une application "Stop-la-république-en-marche" aurait plus de succès...
Pour tous ceux qui ont besoin de sourire en cet énième dimanche covidien, voici "The typewriter", concerto pour orchestre et machine à écrire composé par Leroy Anderson en 1950, interprété ici par l'Orquesta Sinfonica de Hamhung sous la direction de Miguel Roa, soliste Alfredo Anaya, à l'Auditorium Nacional de Música de Madrid en 2011.
Je me souviens avoir découvert cette musique dans le film de Frank Tashlin "Who's minding the store?" (Qui s'occupe du magasin?), avec Jerry Lewis et Jill St John, sorti en France en 1963 sous le titre "Un chef de rayon explosif".
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Modeste hommage à mes anciennes secrétaires Germaine Rouchaud, Françoise Lebouc, Jeanne Laurens, Monique Perez, Paulette Bataillon, Colette Guigue, Nicole Véricel. Sans oublier Renée Valembois, Michèle Pluss et Ginette Riaud.
Encerclée de rouge, l'Aude (11) tient bon. Le nuage covidactif aurait donc été stoppé aux frontières du département comme s'était arrêté naguère le nuage de Tchernobyl aux frontières de l'Hexagone...
Ceci dit, n'oublions pas cette nuit de retarder d'une heure nos montres et pendules.
Demain dimanche 25 octobre, à 3 heures du matin, il sera 2 heures.
Entreprise française de l'industrie textile spécialisée dans le domaine de la lingerie féminine qui avait lancé le bas sans couture en 1958 sous le nom "Le bas Dimanche". Marcel Bleustein-Blanchet, président et fondateur du groupe Publicis, raccourcira en 1963 le nom de la marque qui devint "Dim".
Dernièrement, dans le cadre de la politique du port du masque obligatoire dans tous les espaces partagés et clos pour soi-disant limiter les risques de propagation du coronavirus, de nombreux fonctionnaires ont reçu des dotations de masques de la marque DIM qui avait remporté un appel d'offres du gouvernement.
Or, depuis plusieurs jours, des inquiétudes portent sur la possible toxicité de ces masques de la marque DIM traités à la zéolite d'argent et de cuivre, un agent biocide. Aussi le ministère de l’Éducation nationale a-t-il suspendu la distribution aux enseignants de ces masques en attendant les résultats d’une expertise, selon un syndicat et le gouvernement.
Avec mes compliments à ceux qui maintiennent une confiance aveugle aux autorités sanitaires et en particulier à ceux qui disent des "anti-masques" qu’ils sont des psycho-complotistes...
Echange de paroles, de points de vues parfois contradictoires. La discussion, c'est parler avec d'autres, échanger des idées, des arguments pour en étudier le pour et le contre.
Tout se discute en démocratie (disputatio), seuls les ennemis de cette tradition issue à la fois des Grecs, des Romains et du judéo-christianisme s’en offusquent comme aujourd’hui les djihadistes, les adeptes de la pensée unique et les affairistes techno-globalistes.
"De la discussion jaillit la lumière", dit la sagesse populaire.
Cette expression apparue au XIXe siècle était employée pour parler des jeunes gens qui se lançaient des regards énamourés et ridicules. L'expression n'a guère changé depuis et désigne toujours un regard niais.
Le regard d'Anne-Sophie Lapix (France 2) lors de l'interview télévisée de Macron du mercredi 14 octobre 2020.
Mémé Brizitte a dû faire une crise de jalousie...
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Commentaires :
- Est il intéressé par les jeunes et belles femmes ? Je doute beaucoup ... Paule G.
- Tout à fait exact, c'était ma première impression en voyant la journaliste. Alain T
- On ne sait pas qui a le regard le plus niais, mais Anne-Sophie Lapix est très jolie. Yveline
Cette chanson raconte l'histoire des aviateurs polonais qui, après avoir rejoint l'Angleterre en 1939 pour combattre les Allemands, avaient formé la célèbre 303ème escadrille de chasse polonaise, l'héroïne de la Royal Air Force, et n'avaient finalement pas été invités à participer au défilé de la victoire à Londres le 8 juin 1946.
La famille royale pendant le défilé à Londres, Royaume-Uni le 8 mai 1946.
(Photo by Keystone-France/Gamma-Rapho via Getty Images)
Jest czerwiec czterdziesty szósty, londyńska aleja Moll
Pogoda jak zwykle angielska, niebo stalowe od chmur
Czekamy w tłumie od rana, są flagi we wszystkich kolorach
Nareszcie koniec tej wojny, przybyli król i królowa.
C'est le 8 juin 1946 sur la grande avenue de Londres
Le temps est comme d'habitude en Angleterre, avec des nuages et un ciel gris acier
On attend dans la foule depuis le matin, il y a des drapeaux de toutes les couleurs La guerre est enfin terminée, le roi et la reine sont là.
Słychać już pomruk wozów z białą gwiazdą w kole
Pewnie niedługo nasi się tam zza zakrętu wyłonią
Teraz idą Francuzi, śmieją się prężą pierś
Ale my czekamy na naszych, zaraz tu będą też
On peut déjà entendre le ronronnement des véhicules ornés d'une étoile blanche
Les nôtres vont sûrement bientôt apparaitre au virage
Maintenant les Français arrivent, ils rient à gorge déployée
Mais nous attendons les nôtres qui devraient être là aussi
Ciągle się o nich mówiło, gdy Londyn spowijał dym
Najwięcej szkopów trafili - Dywizjon 303
Angielki za nimi szalały choć Londyn spowijał dym
A oni na Polskę czekali - Dywizjon 303
On parlait tout le temps d'eux quand Londres était enveloppée de fumée
Ils avaient abattu le plus grand nombre d'avions ennemis - 303e Escadrille
Les Anglaises étaient folles d'eux même si Londres était enveloppée de fumée
Et on attendait la Pologne - la 303e Escadrille
Stoimy na skraju ulicy, wśród kurzu, krzyków i flag
Dostojnie macha królowa, i tylko naszych brak
Czesi, Holendrzy, Belgowie - Przygrywa orkiestra wojskowa
W turbanach idą Sikhowie, euforia dookoła
On se tient au bord de la rue, dans la poussière, les cris et les drapeaux
La reine agite la main, et seuls les nôtres manquent.
Les Tchèques, les Néerlandais, les Belges - Un orchestre militaire joue
Les sikhs enturbannés défilent. C'est l'euphorie partout
Ciągle się o nich mówiło, gdy Londyn spowijał dym
Najwięcej szkopów trafili - Dywizjon 303
Angielki za nimi szalały choć Londyn spowijał dym
A oni na Polskę czekali - Dywizjon 303
On parlait tout le temps d'eux quand Londres était enveloppée de fumée
Ils avaient abattu le plus grand nombre d'avions ennemis - 303e Escadrille
Les Anglaises étaient folles d'eux même si Londres était enveloppée de fumée
Et on attendait la Pologne - la 303e Escadrille
Nie było biało-czerwonych, to chyba niczyja wina
Anglicy to dżentelmeni, nie chcieli drażnić Stalina...
Il n'y avait pas notre drapeau blanc et rouge, sans doute la faute de personne
Les Anglais sont des gentlemen, ils ne voulaient pas contrarier Staline...
Ciągle się o nich mówiło, gdy Londyn spowijał dym
Najwięcej szkopów trafili - Dywizjon 303
Angielki za nimi szalały choć Londyn spowijał dym
A oni na Polskę czekali - Dywizjon 303
On parlait tout le temps d'eux quand Londres était enveloppée de fumée
Ils avaient abattu le plus grand nombre d'avions ennemis - 303e Escadrille
Les Anglaises étaient folles d'eux même si Londres était enveloppée de fumée
Et on attendait la Pologne - la 303e Escadrille
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"Avons-nous tous perdu notre sens de la décence et de la gratitude?" aurait déclaré le général Philip Joubert de Ferte, commandant de l'air pendant la bataille d'Angleterre, lorsqu'il a appris l'absence de Polonais pendant la London Parade de la Victoire.
Perfide Albion...
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Commentaire :
- Oubli très regrettable, même s'il s'agit de diplomatie vis-à-vis de Staline. Très triste pour les Polonais, qui méritaient cet hommage. Je ne connaissais pas ce pan de l'histoire. Merci François. Yveline
Une vieille dame décide de s'offrir un beau cadeau pour ses 80 ans en passant une nuit dans le magnifique hôtel 5 étoiles de Cabourg. Au moment de payer le lendemain matin au départ, l'employé au comptoir lui tend une note pour 250 €.
Elle demande alors pourquoi c'est si cher.
- Je suis bien d'accord que c'est un bel hôtel dit-elle, mais franchement ça ne valait pas 250 € pour juste une nuit. Et en plus, je n'ai pas pris de petit déjeuner !
L'employé lui répond que 250 €, c'est le prix standard, que le petit déjeuner était compris et qu'elle aurait pu le prendre.
Elle demande alors à parler au directeur.
Celui-ci arrive à la réception et, déjà prévenu par l'employé, lui annonce :
- Madame, cet hôtel a une piscine de taille olympique et un centre de conférences tout équipé, cela fait partie de notre standing.
- Mais je ne les ai pas utilisés, dit-elle
- Peut-être, mais c'était là et vous pouviez les utiliser.
Il continue en expliquant que l'hôtel a aussi un spectacle très connu chaque soir et qu'elle aurait pu y assister.
- Mais je n'y suis pas allée, insiste-t-elle.
Après chaque service que le directeur de l'hôtel lui détaille, elle répond qu'elle n'en a pas profité.
Mais le directeur a toujours réponse à tout.
Au bout d'un moment, elle se décide enfin et fait un chèque de 50 €, qu'elle tend au directeur.
Celui-ci, surpris en voyant le chèque, lui dit:
- Mais Madame, votre chèque est de 50 €.
- C'est vrai, mais je vous ai facturé 200 € pour avoir couché avec moi.
- Mais madame, je n'ai pas couché avec vous ! s'exclame le directeur.
- Ah c'est bien dommage, j'étais là, et vous auriez pu en profiter...