Ce livre de Robert-Louis Stevenson m’avait été offert il y a bien longtemps en cadeau de Noël et je me souviens qu’il me faisait un peu peur lorsque j'étais tout môme.
A l'origine, Stevenson avait intitulé son récit "Le maître-coq" quand il l'écrivit pour son beau-fils Loyd Osbourne. L'histoire parut en feuilleton d'octobre 1881 à janvier 1882 dans un magazine avant d'être publiée en volume en 1883. Le succès fut immédiat et ne s'est jamais démenti par la suite. L'ouvrage a été constamment réédité - plus de quatre-vingt fois en France depuis la guerre, et a inspiré nombre d'illustrateurs de différents pays.
Parmi lesquels j’ai vainement cherché à me procurer chez les bouquinistes "Treasure island" illustré par Howard Pyle (1853-1911).
A l'origine, Stevenson avait intitulé son récit "Le maître-coq" quand il l'écrivit pour son beau-fils Loyd Osbourne. L'histoire parut en feuilleton d'octobre 1881 à janvier 1882 dans un magazine avant d'être publiée en volume en 1883. Le succès fut immédiat et ne s'est jamais démenti par la suite. L'ouvrage a été constamment réédité - plus de quatre-vingt fois en France depuis la guerre, et a inspiré nombre d'illustrateurs de différents pays.
Parmi lesquels j’ai vainement cherché à me procurer chez les bouquinistes "Treasure island" illustré par Howard Pyle (1853-1911).
Un livre qui avait, à l’évidence, inspiré Hugo Pratt lorsqu'il avait mis en images, avant Corto Maltese, une adaptation de Mino Milani du classique de Robert-Louis Stevenson chez Casterman en 1965. Devenu introuvable cet ouvrage sera réédité en 2010.
Personnellement, j'ai un faible pour "L'île au trésor" illustrée par Ralph Steadman, l'un des plus grands artistes d'Angleterre qui, dans cette édition de 1985, nous offre ses grands dessins en couleurs extraordinairement personnels et pourtant totalement fidèles à l'esprit de Stevenson.