31/03/2018

When I grow too old to dream ♫



C'est à cause d'un article de Paris-Match dans lequel on montrait Marina Vlady s'adonner à la sculpture dans la maison familiale des Poliakoff à Maisons-Laffitte tout en écoutant des disques de Nat King Cole son chanteur préféré, qu'encore adolescent et secrètement amoureux de la jeune artiste, j'ai voulu acheter un premier disque de ce chanteur et pianiste américain de jazz dont je n'avais encore jamais entendu parler. 


 


C'était en 1958. Je n'avais alors déniché que cet album dans les rayons de mon disquaire de banlieue parisienne où l'on trouvait surtout "Gondolier" par Dalida,  "Le Poinçonneur des Lilas" de Gainsbourg,  "Mon manège à moi" par Edith Piaf ou "Hello le soleil brille" par Annie Cordy, les grands succès du moment. 
J'avais l'impression qu'à part la belle Marina Vlady, pas grand monde ne connaissait alors Nat King Cole dans l'Hexagone.


J'ai adoré le disque et par la suite je me suis constitué une collection quasiment complète des vinyles, K7 et CD du grand Nat King Cole. 


Mais je garde un sentiment particulier pour cette chanson composée en 1934 par Sigmund Romberg et Oscar Hammerstein et interprétée par Nat King Cole et son trio en 1957.




When I grow too old to dream
I'll have you to remember
When I grow too old to dream
Your love will live in my heart
So kiss me my sweet
And so let us part
And when I grow too old to dream
Your love will live in my heart